Les services à domicile sont soutenus par les pouvoirs publics depuis les années 1980, avec un accent sur les incitations fiscales aux ménages, représentant plus de la moitié des dépenses budgétaires dans ce domaine. Depuis 1991, les ménages ont la possibilité de déduire de leurs impôts la moitié des dépenses qu'ils consacrent aux services à domicile dans la limite d'un plafond. Et depuis 2007, avec la transformation du dispositif en crédit d'impôt, les ménages ne payant pas d'impôt peuvent eux aussi bénéficier d'une mesure fiscale.