Sort by *

Évaluation des contributions de la France à la Banque asiatique de développement (2013-2018)

FICHE DE SYNTHÈSE

Les contributions de la France comprennent la participation au capital de la Banque asiatique de développement (BAsD), la contribution au guichet concessionnel du Fonds asiatique de développement (FAsD), le partenariat entre l’Agence française de développement (AFD) et la BAsD ainsi que les fonds fiduciaires auxquels la France participe. L’évaluation intervient dans le contexte des négociations de la 12e reconstitution des dotations du FAsD lancée en novembre 2019 et qui sera finalisée le 16 septembre 2020 à l’occasion de l’assemblée générale de la Banque.

Les résultats en deux mots

L’évaluation montre que l’influence française à la BAsD va au-delà de sa contribution financière. Le partenariat entre la BAsD et l’AFD, qui est aujourd’hui le deuxième partenaire bilatéral de la Banque, accroît également le poids de la France à la BAsD. Etant donné que les constats de l’évaluation sont globalement positifs, les recommandations formulées visent à améliorer un dispositif qui fonctionne déjà de manière satisfaisante.

Recommandations

Les recommandations portent principalement sur le renforcement de la veille concernant les enjeux prioritaires pour la France auprès de la BAsD et l’approfondissement du partenariat entre l’AFD et la BAsD. La clôture d’un fonds fiduciaire dormant dont la France dispose est également recommandée. Le rapport invite par ailleurs à mieux intégrer et coordonner l’action de l’équipe France à la BAsD, et à renforcer l’animation du réseau des Français et des francophones de la BAsD tout en assurant une politique de positionnement de Français à des postes stratégiques. Enfin, le développement de partenariats intellectuels entre la Banque et les centres de recherche et les universités françaises permettraient de contribuer à l’influence française.

Contact : Direction générale du Trésor

Ce document, produit par la Cour, résume un rapport d'évaluation. Il n'engage pas la responsabilité des auteurs dudit rapport.