Les résultats en deux mots
Transition écologique : Son intégration reste hétérogène selon les secteurs puisque certains métiers verts ou verdissants incluent des compétences spécifiques en lien avec la réglementation environnementale, la biodiversité ou la lutte contre l’obsolescence programmée. D’autres, telles que les industries traditionnelles, limitent cette prise en compte à des gestes écologiques ponctuels, tel que le tri des déchets. L’absence d’un cadre de référence universel accentue cette disparité.
Transition numérique : Les compétences numériques sont mieux définies, appuyées par le cadre de référence du ministère de l’Education nationale ou des outils tels que la modélisation 3D, les plateformes collaboratives, qui sont intégrés dans plusieurs certifications, avec des critères d’évaluation clairs. En revanche, des lacunes subsistent, notamment dans la prise en compte de la sécurité des données et des nouveaux modèles économiques numériques.
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